MOTO JOURNAL 200, le 2ème évènement moto sur le circuit du Castellet
Les 200 miles Paul Ricard (1ère année, puis dénommé « Moto Journal 200″ les autres années) connurent un succès énorme.
Pour moi , en 1975, peu de possibilté de me faufiler cette fois..mais quand même un exploit s’agissant non plus d’essais privés, mais de l’épreuve officielle.
Alors je suis très heureux, même si ces diapos sont de qualité médiocre, d’avoir pu saisir Patrick Pons, l’un des pilotes français les plus talentueux, le plus flamboyant de nos représentants de cette époque à mes yeux, qui connu lui, aussi hélas, un destin tragique en course, plus tard…
Quant à ce flou « artistique » N°2, ce n’est pas moins que la 750 Yamaha de Steve Baker, l’un des grands animateurs ici.
(tiens il ne portait pas son numéro fétiche 32)
AGO le roi: on est bien dans l’ambiance du Castellet (casquette Ricard, et des têtes, des têtes…) et la Une de MJ N°223.
La superbe Yam usine de 1977 (encart de l’éphémère revue Plein Pot)
Et puis, durant l’édition de 1978, Les Yamaha 750 du Team Sonauto de Sarron (N°7) et Pons
Patrick Pons connu une gloire ascendante et son succès le plus fort fut les 200 Miles de Daytona en 1980,à l’époque LA course internationale la plus prisée, celle des ténors américains..et des meilleurs du Continental Circus…qui avaient réussis (dès Ago) à battre les Américains chez eux, aux guidons des plus gros cubes et au pays du roi dollar. Mais le 04 septembre 1980 Moto-Revue publia une photo de couverture tragique et noire, que l’on n’aurait jamais voulu voir (et que je ne vous propose pas ici): un homme à terre, définitivement, avec une combinaison de dos et le nom de Pons…c’était à Silverstone, lors du 4ème tour du GP 500.
Les autres prétendants : Kawasaki (couleur d’usine verte) et Suzuki (dites-moi si je me trompe..car il s’agit peut-être de la 250 kawa de Mick Grant)
Et puis un lien sur le blog d’un autre passionné de la légende:
http://charlescamberoque.unblog.fr/2009/03/02/le-moto-journal-200/